Tarif unique de 5€ pour les deux spectacles:
Vendredi 29 mai 2015 à 20h00
Akabi Compagnie
"Les 7 jours de Simon Labrosse"
"Les 7 jours de Simon Labrosse"
Simon Labrosse, chômeur à l'imaginaire débridé, toujours plein d'enthousiasme, raconte ses tentatives géniales pour s'en sortir ... Il s'invente un métier chaque jour de la semaine : cascadeur émotif, finisseur de phrases, flatteur d’ego, allégeur
de
conscience, amoureux à distance... Dans ses aventures, Simon est soutenu par
deux compagnons : Léo, un poète incapable d'avoir une pensée positive (ça
arrive parfois) et Nathalie, un peu narcissique (ça arrive souvent) obsédée par
son épanouissement personnel. La pièce de Carole Fréchette nous interroge avec
humour et fraîcheur sur la difficulté de trouver sa place dans le monde d'aujourd'hui,
le désespoir, le chômage et la solitude. Avec de l’énergie et de l’humour on s’en
sort toujours. Non ?
Arlequin d'Or, prix du public et prix du comité de sélection au festival "Les Arlequins" au théâtre St Louis à Cholet le 9 mai 2014.
Vendredi 29 mai 2015 à 21h30
Compagnie Souris et Mascara
"Ni dieu ni maître"
Vendredi 29 mai 2015 à 21h30
Compagnie Souris et Mascara
Ni dieu Ni maître. Ni pitié
Ni quartier. Ni queue ni tête.
Bien vivant.
Bien vivant.
Bien vivant.
« N’est valide qu’un art nuisible, subversif,
asocial, athéiste, érotique et immoral, antidote à l’infection spectaculaire qui
neutralise les esprits et distille la mort »
Antoine d’Agata
Antoine d’Agata
Réamourer, Compatrir, Poéter, Mélantrer, Pamourir, Criter, Motendre,
Ravasser, Bisater, Drendre
bien vivant
bien vivant
bien vivant.
NOTE
D’INTENTION
« enragé(s) », le dernier spectacle
écrit pour la troupe, parlait de celui qui se métamorphose, qui s’affranchit.
Le héros qui subit pour devenir le héros qui reprend sa destinée en main. J’ai voulu
creuser ce sillon, tout en continuant à chercher et expérimenter des formes
nouvelles dans le théâtre amateur, des mises en scène percussives, brutes, sans
fioritures pour aller à l’essentiel : le propos. « Ni dieu ni maître » est donc la
suite (logique ?) d’ « enragé(s) »
puisque cette fois ci, le héros ne subit plus, il rend la monnaie. Il règle ses
comptes, il scande l’amour, il va où bon lui semble. La forme quant à elle,
continue d’évoluer dans ce registre de théâtre libertaire et libéré, en allant
vers le mouvement, la danse, la musique originale.
Mathias Massieu
octobre 2014
La Compagnie Souris et Mascara est déjà venu jouée "enragé(s)" lors de notre 2ème édition du Festival Tremen Scène. Nous sommes heureux de la retrouver pour la suite "Ni dieu ni maître".